C’est un festival d’art international dans la maison des arts à Créteil, intitulé « le nouveau monstre », le sujet s’agit d’une nouvelle présentation de l’horreur. De la simple curiosité à l’effroi, les artistes viennent découvrir notre imagination avec l’art plastique, l’art numérique et l’art de la scène. Il y a plusieurs dispositifs sonores et visuels issus de la transformation des interfaces technologique et utilisées en création.
Chaque projet fait appelle à différents matériaux, cuivre, fer, fils électriques, tissage et autre alliages. Les travaux montrent la voie de la fiction fantastique pour saisir la peur et l’angoisse au sein de notre cœur, en contre partie, ils sont très attachants, fascinant et attendrissant.
Il s'agit d'un écran interactif situé au centre de l'exposition. Au début de la visite, on y voit des ombres bouger et on entend les cris de la basse cour.
Plus tard dans l'exposition on peut s'approcher de l'écran. À chaque mouvement notre ombre est déformée et un son est émis. Une crête nous pousse à la tête lorsque ce ne sont pas des ailes. Des oiseaux ou des lignes géométriques s'échappent du corps de notre ombre.
Dans une petite salle dont les murs sont recouverts de miroirs, plusieurs centaines de petits écrans disposés sur deux colonnes diffusent des visages animés. Chaque visiteur porte un casque dont chaque paroi est recouverte de miroir. Se promener ainsi dans cette salle donne l'impression vertigineuse d'être entouré de milliers d'écrans.
L'exposition présente plusieurs maquettes de maisons du XXème siècle. Les architectes se sont inspirés du style Bauhaus (en dehors de l'Allemagne) pour construire ces maisons, en France, ailleurs en Europe et aux Etats-Unis...
Ces maisons sont dépourvues d'ornement en façade, simples, neutres, écologiques et pures. La chaux recouvre tout l'édifice et la charpente métallique. Beaucoup de verre est utilisé. Les fenêtres sont de grandes tailles et donnent une impression d'ouverture sur l'extérieur.
Une maison à Versailles créée par l'architecte Claude Parent, en 1923. Il oriente l'entrée vers le nord. La façade est en biais pour dévier le vent vers le ciel. La piscine et les grandes fenêtres vers le sud pour profiter au maximum de la lumière solaire et de l'ensoleillement.
Une décoration dépouillée où les grands meubles s'insèrent dans le bâti intérieur de la maison, laissant une impression de liberté, l'œil ne se heurtant pas à l'obstacle du mobilier.
La villa de Savoye, construite par Le Corbusier en 1928. L'architecte apporte une idée nouvelle en surélevant l'édifice sur de fines colonnes, postées comme des pilotis. Le rez-de-chaussée est remplacé par une rampe d'entrée qui s'étend sur plusieurs mètres. L'ensemble de la maison ressemble à une superposition de formes géométriques. La villa est lumineuse. De nombreuses fenêtres laissent pénétrer la lumière tout autour du premier étage.
Aujourd'hui, l'habitat écologique fait appelle à des matériaux locaux, biologiques (comme les maisons de bambous) et évite la multiplication des murs. L'ensemble est plus structural.
□ Andy Warhol
Attrait : La star du Pop Art exposait ses plus célèbres sérigraphies et photos
Au Grand Palais, j’ai vu l’exposition « Andy Warhol ». Cette exposition rassemble l’essentiel de ses œuvres. Dix galeries composent la visite. Le chemin de visite évolue des œuvres possédées par sa première collectionneuse, Ethel Scull, à « La Dernière Scène », galerie où on retrouve le tableau gigantesque « The Last Super ».
Parcourir ses images est apaisant. Toutefois, je suis abasourdie par la multitude des œuvres qui présentent à moi et sollicite mon attention. J’ai l’impression de me retrouver face à des images publicitaires.
Dans « Rolling stone – loving your live 1975 », Andy Warhol utilise la lumière noire comme révélateur. Elle permet de faire apparaître ne femme dans cette sérigraphie. Il transporte ainsi la photographie par l’essentiel glissant de la sérigraphie sur acétate. Dans la lumière, je peux observer la forme héliogène ; sans la lumière, je ne vois que la toile vide. D’ailleurs, au tour des murs de la salle, des citations d’Andy Warhol sont inscrites. Telle une déclamation politique de son engagement pour le pop art. « La mort vous donne vraiment l’aire d’une star » écrit-il à côté d’une toile grand format représentant un accident de la route. L’odeur de la mort y plane moins. On la relativise. Cela fait écho avec les images d’accidents du journal comme l’évoque Susan Sontag dans son essai « Sur la Photographie ».
Cette exposition m’a marqué mais j’en espérais davantage
Je ne me suis pas autant enrichie avec cette exposition que je l’espérais = Cette exposition, j’en espérais davantage
□ Alexander Calder
Titre : Alexander Calder à Beaubourg
Attrait: le fil de deux pôles, l’artiste et l’ingénieur sur la sculpture dans le vent
Impression : un magicien naïf, la variation de la perspective
Et puis, j’ai vu les travaux d’un artiste ingénieux, Alexander Calder à Beaubourg. C’est vraiment incroyable qu’il ait fait un si grand nombre de travaux pendant 7 année à Paris., Surtout, il ne limite jamais la voie de sa création dans l’artisanat et possède un sens de lhumour considérable. il étend ainsi ses mains à l’art abstrait par la sculpture. Il sait bien la qualité des essentiels, du bois et du fer. il profile la masse avec la forme simple pour composer une autre vue mobile. En plus, il transporte l’épaisseur de fil de fer en montrant deux perspectives-- Une perspective planaire et l’autre géométrique dans l'espace. Dans la salle, l’ombre me laisse plusieurs impressions sur la forme fluide en raison du mouvement de la sculpture. Tandis que les spectateurs la parcourent, le vent qu’ils génèrent fait bouger la sculpture. J’ai l’impression que les travaux sont animés, ils jouent leurs rôles dans l’espace, naturellement.
D’ailleurs, d’après l’autre salle au quatrième étage, je peux voir une voie naïve d’Alexander. Il crée une pièce par ses petites marionnettes métalliques. C’est formidable de voir un artiste qui met ses travaux en scène comme si les petites sculptures avaient leurs propres âmes.
version corrige plus soutenue
Alexander Calder
Titre : Alexander Calder à Beaubourg
Attrait:, L’artiste, l’ingénieur et la sculpture dans le vent
Impression : Un magicien naïf, la variation de la perspective
Ici, à Beaubourg, j’ai vu les travaux d’un artiste ingénieux : Alexander Calder.
Pendant ses sept années à Paris, l’artiste a produit un nombre prodigieux de tableaux sans pour autant limiter ses créations à l’artisanat pour procéder à un sens de l’humour considérable. C’est ainsi qu’il tend ses mains à l’art abstrait sur la sculpture ?. Il maîtrise la qualité des essentiels, le bois, le fer. Il profile la masse en forme simple pour composer une nouvelle perception, mobile. Par ailleurs, il transporte l’épaisseur du fil de fer en montrant deux perspectives - l’une planaire et l’autre spatiale. Dans la salle, l’ombre me laisse plusieurs impressions : la forme fluide inspire le mouvement de la sculpture mais ça ne s’arrête pas là ; tandis que les spectateurs la parcourent, le faible vent générer par leurs déplacements mettent effectivement la sculpture en mouvement. J’ai l’impression que les œuvres sont animées, elles jouent naturellement leurs propres rôles dans l’espace.
D’ailleurs, d’après l’autre salle au quatrième étage, je peux voir une voie naïve d’Alexander. Il crée une pièce par ses petites marionnettes métalliques. C’est formidable de voir un artiste qui met ses travaux en scène comme si les petites sculptures possédaient leurs propres âmes.
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