« Qu’est-ce que c’est notre corps ? qu’est ce qu’il y a dedans nous ? dis-moi, mon amoureur. »
Le processus de la connaissance se prolonge à l’individu en longues années. Peut-être, il n’y a pas vraiment un point de la fin sauf la duré de sa vie.
A cette époque de déplacement mondial, selon le pouvoir d’économie et de progress de la république dans un pays postindustriel, les immigrés se tentent de subsister eux-même dans le pays, c’est plus en plus de difficile qu’ils distinguent ce qu’ils sont. Les chinois, par example, sur apparence, leur peau est jaune, moins de poiles ; leur taille est plus petite que l’homme occidental en général, leur geste conventionnel porte des points de vue culturel. Mais dès qu’ils se rencontrent un homme occidental qui est à n’inporte quelle pays, ils lui parlent l’anglais, d’abord, à lieu de chinois, s’ils sais parler l’anglais. Le pluspart de chinois suivit la voque de la mode actuellement, car il y avait une grande face de la faille d’art chinois traditionnel après la premiere guerre mondiale. Ainsi, ils sont toujours en train de trouver la champion du monde par l’économie, la porte de parole, même la notion du corps...ect. Ils imitent tout ce qu’il veux, ils admissent l’art occidental aussi comme s’ils voyaient et achetaient directement les cartepostaux au magazin de touriste.
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