Barthes écrit en substance que l'art c'est ce qui reste ou encore que l'activité de l'art consiste à produire du reste.
Qu'en pensez-vous au regard du paradigme moderne qu'instaure Duchamp avec le Ready-made et conjuguent les artistes de l'objet qui sont ses heritiers?

Au Début
M. Duchamp a collecté des objets à bien installer au musée, ce qui s’appelle « Ready made ». A plustard, il ainsi s’est moqué la valeur de la peinture, Mona Lisa, en rajoutant une paire de barbe sur toile. Depuis la rentrée on a discuté le valeur de la peinture, je tente de chercher des oeuvres recomposées par les artistes comtenporains.

Paraillement, M. Andy-Warhol a refait la sérigraphie de Mona Lisa dans les années 70. Dans Louvre, la peinture de Mona Lisa est plus populaire d’autres, elle est protegée dans une grosse vitrine, n’importe qui ne pourrait pas la regarder en frôllant elle, mais, en général, nous pouvons l’enregister dans notre propre appareil photo ou dans une carte postale, toute son portrait et la stratégie du peintre présentent justement une figuration approximative dans la tête. Andy profite de cette caractère pour publier la forme de Mona Lisa en sérigraphie et en peinture (« Mona Lisa », 1978, sérigraphie et peinture polymère sur toile, 127*101,6cm).
Pour lui, son Mona lisa peut se hisse sur toile plusieur fois avec la partie au détail, il l’imprime au format agrandi et la décore à la peinture. Il semble que nous avons le plaisir à l’observer plus profondément, pourtant son portrait est métamorphisée à cause de la qualité de la sérigraphie, M. Andy nous n’offre qu’une impression broueuse de sa figure, mais on pourrait encore distinguer ce qui est le portrait de Mona Lisa, parce que sa figure est déjà transportée une formalisation dans notre vie. Nous la voyons souvent, nous ne la connaissons pas bien, son image est collée partout, donc elle est populaire du monde. Sa figure nous reste l’aura unique, au contraire son contour nous laisse le halo de l’art. M. Andy utilise le reste de son profil à nous appeller son aura, et le valeur de l’art ce qui lève la signifie de son oeuvre.
dès on achète une carte postale avec son image, ainsi qu’on fait sa photo dans une distance définie autour la vitrine au Louvre, paralèllement, on consomme la valeur de marchandisation d’auprès son aura imprécis, et puis, sa présentation donc montre la paradoxe de l’identité , il y a pas vraiment distinction entre notre cet objet et ce que nous avons fait à elle.

Sauf la Mona Lisa, M. Alain Jacquet refait aussi la grande peinture « le Déjeuner sur l’herbe » (1998) sur toile, il change l’endroit de la scène, c’est une scène près d’une piscine où les gens assoient tout libre et sans souci, ses costumes sont post-modernes, il nous impréssionne une famille bourgeoise, leur vie se passe bien, tranquillement, et dont une conte d’enfant ou un myth de la vaque post-industrielle se parlent au monde.
Grace à la figure essentielle connue comme un objet qu’on prend souvent, il a la pouvoir d’extraire en bien disposant les rôles dans son film. D’ailleurs, il n’oublie pas à transporter sa signature signifiant la marque du pain sur l’emballage sous papier comme si les artistes de la Renaissance signeaient leur nom sur une nature morte dans l’oeuvre. Son intention joue la place de peintre et d’art, et cite une question : les artistes fabriquent l’art ou la marchandise ?
En plus, M.Alain change l’essentiel de la peinture originale de Manet à une stratégie informatique, c’etaient peinte de la peinture à l’huile, alors, Alain l’imprime cette oeuvre par ordinateur. Il tente à réveiller une nouvelle définition de la peinture. En fin, il dispose cette oeuvre au diptyque (198*270 et 20*270cm), le format presque égale celui de Manet. Le diptyque comme une partie des films, Alain casse aussi la limite entre la peinture et le film selon la figuation du « Déjeuner ».

Des oeuvres anciennes se voient plus en plus d’un ready-made objet actuellement. M. Laurent la Gamba, sous sa série de « Contribution to the American Art History » ( mars 2002), il se fait autoportrait en maquillant devant les peinture connue américaine. Ce projet appartient à la catégorie « pro-cryptique photographie ». Il exploite des images publique en cachant soi-même dedans des images. Il ne peint pas vraiment son portrait aux oeuvres au lieu de déguisement aux elles.
Il nous brouille la distinction de son corps et la peinture, mais son intention laisse le contour de son visage pour nous informer sa disposition. Il se fait la photo en ideologisation formée de la peinture et de son profil, cela se trouve la fonction de reflet au miroir : en regardant soi-mêm dans un territoire de l’autre figure. par example, « autoportrait avec Andy Warhol’s Marilyn » (75x50 cm). Sur la photo, son geste est raide, son visage est rigide sans émotion. Son corps se contorsionne et déforme l’impression de Marilyn dont il est encore facile à appercevoir l’icône, quand même. D’auprès un concept du stade du miroir ; Gamba lance la capacité à organiser son individualité situé dans l'ordre de l’ images. Son imitation de l’image relève l’aliénation individuelle au quotidien, l’icône de Marilyn cite une symbole de l’activité consommationnelle, nous portons des habits avec son icône, nous se costume un part de son âme en attitude commerciale.
c’est-à-dire, l’homme en ce moment, sa place subjective est ainsi peu à peu d’être aliénée dans un grand volume des articles commerciaux, il se face des choix énormes chaque jour dans la société capitaliste, donc sa place devient plus objective.

À l’autre côté, M. Bertrand Lavier profite de nom de Picasso pour son projet, en 2005, « le bleu pasifique picasso »( h: 100.1 x w: 113 x d: 15 cm) et «Bleu Oriental Picasso » ( h: 110 x w: 103 cm ), ses deux oeuvres sont peintes en acrylique sur garde-boue en forme de pistolet au thermatron. Dans son regard de Picasso, sa signature devient un objet valu, elle est apprécise unique pour montrer le valeur de cette peinture, ainsi sa forme nous rappelle une machine courante, les deux caractères se composent l’absurdité et le dialectique de cerdificat de peintre. C’est qui a peint cette oeuvre ? c’est M. Bertrand Lavier ou M. Pablo Picasso ?

Conclusion
Les oeuvres de chef s’interprétent ou s’empruntent par les manières multiplées sous des arrière-pensées aux pôles professionnels différents, les artistes apprécient une distance devant l’objet et le sujet, ils se mélangent la fabrication à apparaître l’observations intérieures radicalement subjectives et purement phénoménologiques qui relèvent de ce que le philosophe Michel Henry appelle la subjectivité absolue ou la vie phénoménologique absolue. Il s’agit de leur point de vue scoliale et de l’art.
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